La profession avait réagi dès la publication du rapport d’une ONG en octobre 2024, qui communiquait des données très éloignées des résultats des contrôles réalisés par la profession et évoquait des non-conformités à la réglementation. À la lecture du rapport de l’ONG, le protocole utilisé ne semble pas respecter les normes en vigueur, ce qui expliquerait de tels écarts.