Les acteurs du snacking doivent mettre les bouchées doubles (Etude Xerfi)

La hausse du nomadisme alimentaire, des foyers de taille plus réduite, la déstructuration des repas et la réduction du temps consacré à la confection des repas ont propulsé le marché du snacking à 17,4 milliards d’euros en 2022, tous circuits confondus (dont 75% entre les mains des GSA), d’après les estimations de Xerfi.