La précarité alimentaire est une réalité qui concerne désormais tous les étudiants, y compris les étudiants en santé. D’après une enquête de l’ANEMF (2023), près d’un étudiant en médecine sur deux déclare sauter au moins un repas par mois pour des raisons financières. Beaucoup adaptent leurs habitudes : repas pris uniquement à domicile, achats de produits moins chers, portions réduites, recettes simplifiées ou recours à l’aide alimentaire.