Et si, finalement, il n’y avait pas plus évident et naturel pour Jean Imbert que d’explorer, à son tour, la magie de Cannes ? Lui, féru de cinéma depuis le plus jeune âge, biberonné au grand écran et aux films d’anthologie à la maison, mais surtout lié au Festival de Cannes depuis toujours, où il venait cuisiner depuis ses 16 ans, dans le boucan des arrière-cuisines, tout en se faufilant dans les projections officielles, discrètement, entre deux services de restaurant sur la Croisette ?